À propos du programme « Odes and welcome songs » de Purcell à l’Opéra de Rennes (dir: Damien Guillon)
La contralto Mélodie Ruvio complète le pupitre avec une voix homogène au timbre profond se mêlant harmonieusement aux voix de sopranos lors des trios. Ses airs en solo sont interprétés avec sincérité et apportent un moment d’apaisement.
Véronique Boudier pour Olyrix – Mars 2022
À propos de La Flûte Enchantée de Mozart dans le rôle de Troisième Dame au Festival de Beaune (dir : Jérémie Rhorer)
Le trio de Dames est remarquable : la voix fraîche et pure de Gwendoline Blondeel se marie idéalement à la ligne de chant soignée d’Elena Galitskaya (qui incarne également une espiègle Papagena) et aux couleurs si personnelles du beau timbre grave de Mélodie Ruvio.
Stéphane Lelièvre pour Première Loge – Juillet 2021
Les trois dames forment un ensemble de grande qualité et d’une harmonie qui se ressent du travail de préparation : la soprano plus aigüe (Première Dame) Gwendoline Blondeel apporte la touche de fraîcheur et Mélodie Ruvio (Troisième Dame) fait entendre une voix de contralto très épanouie qui apporte la touche indispensable de contraste. José Pons pour Olyrix – Juillet 2021
Mélodie Ruvio, l’alto complémentaire, a la rondeur d’émission et les couleurs qui conviennent. Leur trio, tour à tour discipliné, futile, enjoué est un des atouts de cette production.
Yvan Beuvard pour Forum Opera – Juillet 2021
À propos de La Flûte Enchantée de Mozart dans le rôle de Troisième Dame à l’Opéra d’Avignon (dir : Hervé Niquet)
Les trois dames, interprétées par Suzanne Jerosme dotée d’une ligne articulée et pure, Marie Gautrot au timbre sec mais énergique, et Mélodie Ruvio aux harmonies chaudes et élégantes, déambulent et s’accordent avec aisance et souplesse à travers leurs trios rebondissants.
Marjorie Cabrol pour Olyrix – Décembre 2019
À propos de la tournée de concerts autour des madrigaux de Gesualdo avec Les Arts Florissants (dir : Paul Agnew)
(…) Son timbre s’harmonise à celui de la contralto Mélodie Ruvio dans les lignes musicales parallèles. Cette dernière, présente dans les vingts madrigaux, est le liant de l’ensemble de par son timbre chaleureux et enveloppant.
Frédérique Epin pour Olyrix – Octobre 2020
Mélodie Ruvio offre un timbre délicieusement ombragé avec un beau grain de voix. Homogène sur toute la tessiture et d’une grande richesse chromatique, elle articule intensité et grâce dans l’élocution avec un habile contrôle des nuances.
Nicolas Mathieu pour Olyrix – Octobre 2018
(…) prince étrange, qu’Agnew et ses amis défendent avec un soin extrême à faire entendre toutes les voix : mention à la belle basse de d’Edward Grint, aux aigus percutants d’Hannah Morrison, aux graves sensuels de Mélodie Ruvio.
Bertrand Renard pour Culturebox – Octobre 2018
Mélodie Ruvio es una de las últimas adquisiciones del ensemble, y a pesar de tener que reemplazar el enorme hueco dejado por la excepcional Lucile Richardot, consigue que su ausencia no se note tanto como esperaba, de lo cual me alegro y por lo que cabe felicitarla efusivamente. Bellísimo timbre, una esplendorosa carnosidad en su registro medio-grave y un saber estar formidable en medio del entramado madrigalístico –una actividad notablemente compleja en varios aspectos, como el armónico.
Mario Guada pour Codalario – Octobre 2018
Pudimos disfrutar del bellísimo timbre de Mélodie Ruvio, siempre segura y con un registro homogéneo tanto en el registro agudo como en el grave.
Simón Andueza pour Forum clásico – Octobre 2018
De los cantantes, destacaron Hannah Morrison y Mélodie Ruvio, ambas muy afines al espíritu madrigalístico.
Luis Gago pour El País – Octobre 2018
A propos du Récital de musique espagnole donné en Suisse et à Montluçon avec le guitariste Benjamin Valette (programme du C.D « Vamos »)
La voix est saisissante. Le grain de son timbre s’ancre dans le grave avec ardeur.
Paul Flückiger pour Le Quotidien Jurassien – Mai 2018
La voix chaude, prenante et sensuelle de l’artiste lyrique a exprimé toute la richesse de tempéraments aussi divers que ceux de Diego Pisador, Federico Garcia Lorca, Joaquim Rodrigo, Joaquin Turina ou Manuel de Falla. Mélodie Ruvio a su magnifiquement rendre toutes les nuances de cette âme ibérique.
Noël Champomier pour La Montagne – Avril 2018
À propos de la Passion selon Saint-Jean de Bach avec Les Surprises et Aedes dans la partie d’Alto Solo (dir : Mathieu Romano)
Autour de ce sombre drame, c’est un festival de bel canto sacré. Le timbre lumineux de Rachel Redmond (soprano), magnifique technicienne, les sonorités profondes et l’intense sobriété de Mélodie Ruvio (alto), l’émission claire et l’élégance d’Enguerrand de Hys (ténor) laissent le souvenir d’un concert mémorable.
Jacques Bonnaure pour La Lettre du Musicien – Mars 2016
Avec son beau mezzo chaleureux, Mélodie Ruvio donne toute sa profondeur à la berceuse mystique de « « Es ist vollbracht ».
Frédéric Norac pour musicologie.org – Mars 2016
À propos de Die Zauberflöte de Mozart dans le rôle de Troisième Dame (dir : David Reiland)
N’oublions pas de saluer les seconds rôles avec le très présent Monostatos de Mark Omvlee et le trio de dames de Camille Poul, Romie Esteves, et Mélodie Ruvio (au timbre splendide et électrisant) précises, et d’une grande homogénéité.
ODB Opéra – Avril 2015
Fabrice Malkani pour Forum Opera – Avril 2015
À propos du disque « Sémélé » enregistré avec Les Ombres pour le Label Mirare (dir : Sylvain Sartre & Margaux Blanchard)
C’est l’alto Mélodie Ruvio qui interprète avec sensibilité le chef d’oeuvre de Destouches. La jeune artiste fait montre d’une autorité et d’une maitrise digne des plus grandes tant elle fait siens, texte et musique de Destouches (…) Mélodie Ruvio affirme une Junon mordante, jalouse et retorse à souhait.
Classiquenews – Mars 2015
A propos du Récital de musique sacrée et espagnole donné à Montluçon
Il a fallu ajouter des sièges dans la chapelle de la Croix-Verte pour accueillir le public nombreux amateur d’art lyrique venu assister au récital de Mélodie Ruvio samedi soir. Ce programme éclectique a montré toute l’étendue du talent de la cantatrice. Sa voix grave et sensuelle de contralto, sa présence, son sourire, sa simplicité ont transporté le public dans un univers de bonheur et d’harmonie. Les applaudissements ont été à la mesure du talent de l’artiste. Un très beau cadeau fait aux mélomanes d’une ville où Mélodie a gardé beaucoup d’attaches.
Noël Champomier pour La Montagne – Novembre 2014
À propos de Giulio Cesare de Haendel dans le rôle de Cornelia (dir : Facundo Agudin)
Mélodie Ruvio est très convaincante en matrone romaine sous le voile noir de Cornelia : sa voix diaprée aux riches résonances se prête bien aux nombreuses lamentations d’une veuve à qui le destin refuse longtemps tout espoir.
Maxime Grand pour Le Quotidien Jurassien – Juin 2013
À propos de la Messe en Si de Bach dans la partie d’Alto Solo (dir : Françoise Lasserre)
l’Agnus Dei, le plus bel air qui soit, confié à l’alto (Mélodie Ruvio, admirable de timbre et de ligne)…
Michel Roubinet pour Concert Classic – Octobre 2012
Pedro-Octavio Diaz pour Muse Baroque – Septembre 2012
Hubert Stoecklin pour Utmisol – Septembre 2012
À propos de l’Egisto de Cavalli dans les rôles de Venus/Venere et Phèdre/Fedra (dir : Vincent Dumestre)
On retiendra aussi la portugaise Ana Quintans, volubile et aérienne dans Amour, Cyril Auvity, Hipparco expressif et Mélodie Ruvio, une Fedra impressionnante.
Hélène Kuttner pour Le Pariscope – Février 2012
Philippe Houbert pour Classique Info – Février 2012
Emmanuelle Pesqué pour ODB Opéra – Février 2012
À propos de Castor et Pollux de Rameau dans le rôle de Phébée (dir : Frédérick Haas)
La contralto Mélodie Ruvio incarne quant à elle une Phébé des plus convaincantes, tantôt furieuse, tantôt désespérée.
Gestin pour Muse Baroque – Novembre 2014
D’une diction parfaitement maîtrisée et d’un timbre charnu et héroïque, Mélodie Ruvio campe une Phébé amante blessée et vaillante (dont on élude ici le suicide). Toute la distribution est parfaitement homogène et sa jeunesse en souligne la grande valeur.
Monique Parmentier pour Anaclase – Septembre 2011
Jean-Baptiste de La Taille pour Resmusica – Septembre 2011
À propos des représentations et du disque « Concert chez la Reine » enregistré avec Les Ombres pour le Label Ambronay (dir : Sylvain Sartre & Margaux Blanchard)
Et l’acmé du concert fut atteinte lorsque Mélodie Ruvio, au port altier de tragédienne, monta sur la chaire pastorale pour nous décrire, tel un chœur antique, les malheurs de Circé. En une seconde, avec la complicité des membres de l’orchestre, elle devint la douloureuse magicienne abandonnée et à bout de forces sous les traits cruels du fatal amour. Elle nous ravit avec une voix dont la justesse épousa chaque émotion, chaque syllabe du texte de Jean-Baptiste Rousseau, avec un engagement dramatique sans faille. Le théâtre et le chant ne se transmettent pas par la bouche, mais par les yeux. Et Mélodie Ruvio l’a compris, alliant une voix sublime à une technique sans faille, tragédienne accomplie transmettant sans fard l’émotion profonde du texte et la subtilité de la musique.
Pedro-Octavio Diaz pour Muse Baroque – Octobre 2011
Gilles Macassar pour Télérama – Novembre 2010
Emmanuelle Pesqué pour ODB Opéra – Novembre 2010
Christophe Rizoud pour Forum Opera – Novembre 2010
À propos de Die Zauberflöte de Mozart dans le rôle de Troisième Dame (dir : Joël Suhubiette)
Le trio des Dames, à la complicité récurrente, charme l’ouïe autant que la vue ; on y reconnaît le beau timbre d’alto de Mélodie Ruvio qui jouait le rôle-titre dans Le Carnaval et la Folie il y a trois ans à la MC2.
Gilles Mathivet pour Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné – Mars 2010
Souvent mal assortis, les rôles tricéphales sont ici à saluer bien bas. Le trio de Dames est d’une homogénéité rare, d’une complicité à toute épreuve et d’un engagement scénique total. Rarement on aura eu l’occasion de voir des Dames aussi gourmandes et autant attirées par le beau prince évanoui. Mention spéciale au timbre sombre et somptueux d’alto de Mélodie Ruvio.
Nicolas Grienenberger pour Classiquenews.com – Août 2009
À propos du Ballet des Arts de Lully dans les rôles de La Paix, Junon et Bellone (dir : Hugo Reyne)
Roger Tellart pour Concertclassic.com – Octobre 2008
Olivier Rouvière pour Diapason – Juillet 2008
À propos de King Arthur de Purcell dans le rôle de Troisième Soprano Solo (dir : Hervé Niquet)
Melodie Ruvio stepped up from the chorus to form a confident third Nymph in trio with Gritton and York.
Robert Hugill pour N.A – Mai 2009
À propos du Carnaval et la Folie de Destouches dans le rôle de La Folie (dir : Hervé Niquet)
Equipe vocale valeureuse : la Folie de Mélodie Ruvio montre de beaux moyens
Jean-Charles Hoffelé pour Concertclassic.com – Février 2008
En l’état, les rôles-titres révèlent deux bons chanteurs (…) Les timbres ne manquent pas de caractère, qu’il s’agisse du mezzo sensuel et profond de Mélodie Ruvio (…) Et il ne fait aucun doute que leur présence vocale s’affirmera au fil des représentations prévues au cours de la saison…
Cyril Mazin pour Opéra Magazine – Novembre 2007
Le chœur est remarquable d’éclat et les solistes, parmi lesquels se détachent Carnaval, Momus, et surtout la Folie, tirent leur épingle du jeu avec brio.
Maurice Salles pour Forum Opéra – Octobre 2007
Antonio Mafra pour Le Progrès – Octobre 2007